26 Juin 2017
Nous avons eu la chance avec trois autres sixièmes du collège des Rives d'assister à la projection de 12 courts-métrages issus du Festival d’Annecy.
Même si certains films étaient un peu difficiles à comprendre, nous avons beaucoup apprécié la diversité de la programmation qui nous a conduit du rire aux larmes.
Nous devions voter pour le film que nous avions préféré.
Garden Party , un film de fin d'étude de Théophile Dufresne, Florian Babikian, Gabriel Grapperon, Lucas Navarro, Vincent Bayoux et Victor Caire a fait l'unanimité auprès de tous les sixièmes.
L'histoire : des grenouilles envahissent une villa qui semble abandonnée depuis peu. Derrière ces gentils amphibiens se cache une bien sombre histoire...
Nous avons apprécié les images 3D et le scénario qui était judicieux : l'histoire est jalonnée d'indices qui nous ont permis de deviner le drame qui s'est produit dans cette riche demeure.
La chute, bien qu'un peu gore, nous a surpris car ce que nous pensions être un crapaud dans une piscine n'en était pas un.... L'humour était très décalé...
D'autres films nous ont particulièrement touchés.
Mammas hår de Maja Arnekleiv nous a énormément émus : une mère de famille est filmée avec ses enfants qui jouent avec ses cheveux. Suite à son traitement contre le cancer, elle perd sa chevelure mais ses enfants la soutiennent et ils continuent de venir poser des baisers sur son crâne devenu chauve jusqu'à son rétablissement marqué par la repousse des cheveux.
Pas à pas de Charline Arnoux, Mylène Gapp, Léa Rubinstayn, Florian Heilig, Mélissa Roux
Ce court-métrage nous montre le trajet d'un aveugle dans la rue jusqu'à ce qu'il se libère grâce à la musique et à la danse. Le spectateur partage le point de vue de l'aveugle.
Corp. de Pablo Polledri évoque la création d'une entreprise, la concurrence, les pots de vin, l'écologie, la rentabilité, la mondialisation... Tout ça, en 9 mn !
The gap de Patrick Vandebroeck
Dans un monde plat, un personnage aux allures de robot cubique voit son univers dérangé par une petite boule rouge. L'histoire, un peu absurde, montre l'impossibilité de conserver un monde plat.